L'ombre du vent
Carlos Ruiz ZAFON
- Langue : Français
- Éditeur : Grasset (1 avril 2004)
- Format : Broché - 524 pages
- Dimensions (en cm) : 16 x 4 x 23
- sorti en Livre de poche, janvier 2006
Dans la Barcelone de l'après-guerre civile, \" ville des prodiges \" marquée par la défaite, la vie difficile, les haines qui rôdent toujours. Par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son petit garçon - Daniel Sempere, le narrateur - dans un lieu mystérieux du quartier gothique : le Cimetière des Livres Oubliés. L'enfant, qui rêve toujours de sa mère morte, est ainsi convié par son père, modeste boutiquier de livres d'occasion, à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération : il doit y \" adopter \" un volume parmi des centaines de milliers. Là, il rencontre le livre qui va changer le cours de sa vie, le marquer à jamais et l'entraîner dans un labyrinthe d'aventures et de secrets \" enterrés dans l'âme de la ville \" : L'Ombre du vent. Avec ce tableau historique, roman d'apprentissage évoquant les émois de l'adolescence, récit fantastique dans la pure tradition du Fantôme de l'Opéra ou du Maître et Marguerite, énigme où les mystères s'emboîtent comme des poupées russes, Carlos Ruiz Zafon mêle inextricablement la littérature et la vie.
Lorsque j'ai commencé à lire ce livre, j'ai tout de suite été emportée par l'histoire... Malheureusement, l'enchantement n'a pas duré jusqu'à la fin que j'ai trouvé nettement moins bonne. J'ai été un peu déçue. Peut-être parce que tant de personnes en Espagne m'en avait dit le plus grand bien et que je m'attendais à un chef d'oeuvre !
Ce livre aux ambiances étranges, parfois troublantes, quelques fois surréalistes, d'une poésie qui nous touche au plus profond, ne nous lâche pas avant la dernière page. Amour, peurs, trahisons L'histoire d'un livre. Barcelone, été 1945. Un enfant, un Cimetière des Livres oubliés, un auteur mystérieux, un personnage diabolique parcourant les rues, des intrigues qui s'entremêlent Un livre qui nous poursuit longtemps et dont on souhaiterait peut-être un jour trouver le frère