En fait, c'est un peu réducteur, cet critique du nouvel obs...
Ce qu'il faudrait dire, de ce roman et de sa suite (la route du retour), c'est qu'ici Harrison, cet ivrogne et bâfreur excessif capable du meilleur comme du pire, livre ce qu'il a fait de mieux dans sa tentative d'écrire de l'histoire lyrique par l'introspection des personnages. Le cosmique avec l'intime en quelque sorte....faut s'accrocher mais c'est bien beau. Cela dit, Harrison reste un bâfreur éthilyque...
En fait, c'est un peu réducteur, cet critique du nouvel obs... Ce qu'il faudrait dire, de ce roman et de sa suite (la route du retour), c'est qu'ici Harrison, cet ivrogne et bâfreur excessif capable du meilleur comme du pire, livre ce qu'il a fait de mieux dans sa tentative d'écrire de l'histoire lyrique par l'introspection des personnages. Le cosmique avec l'intime en quelque sorte....faut s'accrocher mais c'est bien beau. Cela dit, Harrison reste un bâfreur éthilyque...